POLITIQUE

Vent de panique à Gérald Bataille et ses environs

Une situation de vives tensions a régné dans la zone de Gérald Bataille tôt dans la matinée de ce mercredi où des pneus enflammés ont été remarqués en signe de protestation et de solidarité aux policiers du corps d’élite SWAT, assassinés à village de Dieu dans les conditions que l’on sait. Cette situation a eu le même effet dans plusieurs endroits de la commune de Delmas et de Tabarre, a-t-on constaté.

Pneus enflammés dans toutes les allées menant au carrefour de Gérald Bataille, voitures en croix sur la chaussée, tirs sporadiques, rues complètement vidées mais jonchées de détritus, voici le résumé de la situation qui régnait ce mercredi au niveau du grand carrefour.

Des civils armés se réclamant du groupe des fantômes 509 ont tiré des coups de feux en l’air ce qui a augmenté davantage la panique occasionnant au passage la paralysie totale des activités commerciales dans toute la périphérie.

Transport en commun nul

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À l’exception des taxis-motos, aucune trace de voitures privées ni de camionnettes assurant régulièrement le transport en commun pour les circuits Delmas-Gérald Bataille-clercine, Gérald Bataille-caradeux, Gérald Bataille-Fleuriot et Gérald Bataille-carrefour de l’aéroport.

Sillonnant la zone de Maïs Gâté , armes aux poings, en véritable maitres des lieux, ces hommes armés voulant mieux contrôler la situation ont intimé l’ordre aux plus récalcitrants de vider les lieux en tirant des coups de feux. Dans la foulée, un chauffeur de camion a été contraint de croiser son véhicule au beau milieu de la chaussée allant vers caradeux.

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