Société : Quand le ministère à la condition féminine et aux droits des femmes se solidarise avec les femmes déplacées par la guerre des gangs
Dans le cadre d’une journée de solidarité organisée le mardi 3 octobre 2023, le ministère à la condition feminine et aux droits des femmes (MCFDF) a accueilli plusieurs centaines de femmes hébergées dans plusieurs batiments scolaires transformés en centres d’accueil dans la zone métropolitaine. Une journée marquée par la distribution de kits alimentaires et d’autres matériels nécessaires, a constaté le journal en ligne La Question News.
Des jeumes femmes, des mères de famille accompagnées pour la plupart de leurs enfants, elles étaient, en effet, plusieurs centaines à se masser sur la cour du ministère des femmes pour pouvoir bénéficier de ce geste de solidarité de la part de la mimistre à la condition feminine et aux droits des femmes, le docteur Sofia Loréus, à un échantillon considérable de ces millers de femmes victimes de la guerre des gangs armés et qui ont été contraintes de quitter leurs domiciles respectifs pour trouver refuge dans des espaces non appropriés où elles évoluent dans de très mauvaises conditions.
De cette initiative, quelques hommes, pères de famille évoluant aussi dans les espaces servant d’hébergement aux déplacés, ont été également touchés.
Un geste de solidarité qui, selon les bénéficiaires, arrive à un bon moment où le manque d’assistance et de nourriture dans les centres fait rage et affaiblit la majorité de ces femmes, cheffes de famille qui ont tout laissé derrière pour sauver leur peau et mener une nouvelle vie faite de privations et de misère.
Leurs témoignages de reconnaissance ont été adressés à la ministre Sofia Loréus et des membres de son équipe qui ont procédé patiemment à la distribution de ces kits alimentaires qui ont touché plus d’un millier de femmes déplacées, dont leurs résidences se trouvent à Carrefour-feuilles.
Nostalgiques, fatiguées par Les conséquences néfastes du climat d’insécurité qui sévit dans le pays, particulièrement à Carrefour-feuilles, leur quartier d’origine, ces femmes, s’alliant aux hommes, ne jurent que par le retour définitif d’un climat de paix pour pouvoir rentrer au bercail et repartir à zéro.
