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Guerre : Les frappes russes s’abattent encore plus sur l’Ukraine

Les attaques russes ciblant des positions stratégiques de l’armée ukrainienne ont déjà démarré. Des véhicules militaires russes se sont installés dans les territoires prorusses, entre autres. Le combat s’approche de la capitale ukrainienne et l’armée russe a déjà détruit plus de 70 installations militaires. Le système anti-aérien de l’armée ukrainienne serait anéanti à en croire, les révélations de quelques médias étrangers. Déjà plusieurs dizaines de morts du côté de l’Ukraine.

Il avait promis une riposte forte et douloureuse, eh bien, le président russe Vladimir Poutine ne rigolait pas. Il est passé de la parole aux actes en lançant une attaque surprise contre son voisin qui voulait à tout prix intégrer l’OTAN. Ce qui a provoqué une vague de réaction de la part des pays de l’occident dont les États-Unis, la France qui annoncent des sanctions économiques contre la Russie. A cela, le Kremlin a promis une riposte forte et douloureuse après avoir approuvé l’indépendance des régions séparatistes qui menaient déjà une guerre constante avec Kiev. 

« Il ne doit pas y avoir de doute : il y aura une riposte forte aux sanctions, pas forcément symétrique, mais bien calculée et douloureuse pour la partie américaine », a assuré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

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Confiante, le Chef du Kremlin minimise les pressions occidentales et affirme sa volonté de défendre fermement ses intérêts tout en restant ouverte à la diplomatie fondée, explique le ministère russe des affaires étrangères, « sur les principes du respect mutuel, d’égalité et de prise en compte des intérêts mutuels ». Pour couronner le tout, le Kremlin a choisi de se défaire de tout financement venant de l’occident. « Nous coupons la Russie des financements occidentaux », ont déclaré les autorités dans un communiqué. 

De l’autre côté, à Washington, la situation semble préoccuper au plus haut point l’administration Biden qui envisage de recourir à des sanctions pires que celles appliquées en 2014. Ces sanctions consistent, entre autres, à couper la Russie des financements occidentaux. 

L’Union européenne, le Japon, l’Australie, le Canada, l’Allemagne et la Grande-Bretagne ont aussi emboîté le pas.

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